Archives de janvier, 2013

Toubib or not toubib de Agnès Abécassis

Couverture Toubib or not toubib

Voici la 4ème de couverture :

Elle court, elle court, la maladie d’humour…
La preuve dans ce cabinet médical pas comme les autres. Après avoir été accueilli par une réceptionniste douce comme un pit-bull, vous aurez le choix entre une dentiste si gaffeuse que vous préférerez garder vos caries, un gynécologue odieusement misogyne, un bel acupuncteur dont les patientes sont piquées, ou Yohanna, la gentille généraliste qui va elle-même s’allonger chez le psy entre deux examens.
Un homme bien étrange d’ailleurs, ce psy. Il lui fait revivre, sous hypnose, toutes ses premières fois pour comprendre d’où vient son problème de manque de confiance en elle. Mais la situation dérape le jour où elle commence à développer de surprenantes aptitudes… Finalement, le plus malade n’est peut être pas celui qu’on croit !

Je pense que mon article va être assez court. En fait, on a acheté ce livre avec ma sœur car elle cherchait un livre facile à lire et avec de l’humour… Et là, dans les commentaires : « Une comédie désopilante », de plus la 4ème de couverture a l’air sympa donc on s’est dit « Bingo ! ».

Mais je n’ai qu’un seul mot : déception ! Bon, il est facile à lire, il m’a arraché quelques sourires mais sans plus. Et la fin, c’est du grand n’importe quoi !

En faisant quelques recherches, j’ai lu que ce n’est pas le meilleur roman de cette auteur. Mais je n’ai pas trop envie de découvrir ses autres livres.

Comme on l’avait pris pour ma sœur, je lui ai tout de même demandé ce qu’elle en a pensé. Elle aussi a été déçue, elle s’attendait à mieux mais elle l’a fini ce qui est déjà une bonne nouvelle en soi.

Pour conclure, un livre à oublier rapidement, et au suivant ! ^_^

♥♥♥♥♥

Rêve de Martial Caroff

Rêve Martial Caroff Intelligences tome 3

Etrange qu’après l’Antarctique qui me fascine, on passe à l’Australie où je rêve d’aller… Etrange oui et non, si on visualise le globe terrestre on comprend. En tous les cas, voici le 3ème tome d’Intelligences. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre mais la 4ème de couverture nous donne quelques indications :

Darwin, Australie, mai 2038.
Le célèbre archéologue Jacques Kieffer et son amie Carrie-Ann Lilly viennent de découvrir une peinture rupestre aborigène représentant, avec une grande précision anatomique, un être étonnant paré d’étranges ornements corporels. Cette créature a-t-elle réellement vécu sur le continent australien ? Quand a-t-elle disparu ? Pourquoi n’en a-t-on jamais trouvé de traces ?

Le couple, bientôt rejoint par deux collègues, va interroger à plusieurs reprises le jeune Gurraramawuy, qui semble savoir beaucoup de choses. L’homme propose dans un premier temps aux quatre Occidentaux une immersion dans le « Rêve », le fameux corpus spirituel des Aborigènes. À l’issue de cette initiation, le petit groupe est invité à pénétrer dans une extraordinaire arche de cristal, aux couleurs changeantes.
Mais c’est un monde en danger de mort qu’ils découvrent.
Débute alors une course contre la montre pour sauver ce qui peut l’être encore de la plus ancienne des civilisations terrestres.

Un extrait, pas pour le style, vous commencez à connaître l’auteur mais pour vous que vous sachiez où vous mettez les pieds (je devrais plutôt dire les yeux ou l’imagination, ou…) :

Gurraramawuy se tut. Cette fois, Jacques était KO. Tout s’embrouillait dans sa tête : les mythes se mêlaient à l’archéologie, le réel faisait la part du Rêve… Pour rompre un silence qui commençait à se faire pesant, il demanda à quelle époque Bayini était arrivée en terre d’Australie. L’Aborigène lui fit comprendre à travers de nouveaux exemples que le Rêve aborigène était un concept dans lequel le temps ne suivait pas le même théorème que dans le monde des humains.

« Les Ancêtres sont toujours là, dans la terre, sous la mer. Quand les Yolngu dansent, quand les Ngarinyin peignent les Wanjina, quand les Warlpiri parlent, ils transmettent les lois des Ancêtres. Ils créent, sous leur regard. Le Rêve est réseau, mais le temps n’en est pas la trame. Le temps est un trait. Un itinéraire courbe. Parfois circulaire. »

Gurraramawuy se leva. Il s’éloigne du couple en faisant traîner son bâton dans le sable, puis il revint vers eux après avoir effectué une immense boucle. De retour à son point de départ, il souleva le bâton juste avant que le cercle ne se referme.

Gurraramawuy offrit alors à Carrie-Ann et à son compagnon le plus grand sourire qu’un humain fût capable de produire…

Moi, aussi, je me suis retrouvée KO. Ce dernier tome est le moins facile des trois à lire je pense. Toute la mythologie et toute la spiritualité aborigènes ne sont pas évidentes à appréhender. Et les noms sont souvent compliqués… Je suis épatée par les recherches qu’a entreprises l’auteur pour nous faire partager tout cela. Je n’ai pas tout compris, je l’avoue et je pense que je relirai des passages mais ça m’a donné envie d’en savoir plus.

On retrouve les mêmes personnages (Kieffer, Carrie-Ann, Mirà, etc) mais s’y ajoute des Aborigènes et des Meriam et… je vous laisse découvrir les autres !

J’ai été étonnée : le « schéma » utilisé dans les deux premiers tomes a disparu. On avait des enquêtes parallèles qui se rejoignaient, et une petite partie sur la civilisation découverte. Ici, l’enquête scientifique se déroule sur la première moitié du roman et la 2ème, sur la civilisation. Et paradoxalement, moi qui me plaignais (surtout dans le 1er tome) de ne pas en savoir plus sur les résultats des découvertes (la civilisation, l’environnement, …), là, j’aurai aimé que la recherche dure plus longtemps… Le fait que les scientifiques aient été guidés et qu’ils n’aient pas trouvé par eux-mêmes change aussi.

Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus car même si la 4ème de couverture en dit déjà beaucoup, parler encore de l’histoire vous en dévoilerait trop. Cependant, j’ajouterai que si ce roman change des deux premiers tomes, il nous embarque dans une drôle d’aventure et d’étranges découvertes et que le tout forme un ensemble très intéressant auquel j’aurai aimé participer (je me demande comment j’aurai réagi…).

 Une citation ? Non, deux !

« Il me déprime à se contenter de ça, en refusant d’imaginer ce qui pour moi est une évidence. »

« Yo manymak ! »

♥♥♥♥

Le poids du papillon de Erri De Luca

Couverture Le poids du papillon

Je remercie Livraddict et les éditions Folio pour ce partenariat. J’ai été intriguée par le titre et la 4ème de couverture :

Quelque part dans les Alpes italiennes, un chamois domine sa harde depuis des années. D’une taille et d’une puissance exceptionnelles, l’animal pressent pourtant que sa dernière saison en tant que roi est arrivée. En face de lui, un braconnier revenu vivre en haute montagne, ses espoirs en la Révolution déçus, sait lui aussi que le temps joue contre lui. Sa dernière ambition de chasseur sera d’abattre le seul animal qui lui ait toujours échappé. Et puis, face à ces deux forces, il y a la délicatesse tragique d’une paire d’ailes, cette « plume ajoutée au poids des ans ».

Quelques mots sur l’auteur :

Erri De Luca est né à Naples en 1950 et vit aujourd’hui près de Rome. Venu à la littérature « par accident » avec Pas ici, pas maintenant, son premier roman mûri à la fin des années quatre-vingt, il est depuis considéré comme l’un des écrivains les plus importants de sa génération, et ses livres sont traduits dans de nombreux pays.

En 2002, il a reçu le prix Femina étranger pour Montedidio.

Un petit extrait :

Sa mère avait été abattue par un chasseur. Dans ses narines de petit animal se grava l’odeur de l’homme et de la poudre à fusil.

Orphelin avec sa sœur, sans troupeau voisin, il apprit seul. Adulte, il faisait une taille de plus que les mâles de son espèce. Sa sœur fut emportée par un aigle un jour d’hiver et de nuages. Elle s’aperçut qu’il planait au-dessus d’eux, isolés sur une pâture au sud, là où subsistait un peu d’herbe jaunie. Sa sœur voyait l’aigle même sans son ombre à terre, sous un ciel bouché.

C’était sans issue pour l’un des deux. Sa sœur se mit à courir, donnant l’avantage à l’aigle, et elle fut attrapée.

Resté seul, il grandit sans frein ni compagnie. Quand il fut prêt, il partit à la rencontre de la première harde, défia le mâle dominant et fut vainqueur. Il devint roi en un jour et en duel.

C’est en fait la première page de ce court récit. Je ne vais pas vous cacher que j’ai été déçue, je m’attendais à plus de poésie… J’ai surtout apprécié les passages décrivant le point de vue et les pensées du chamois, j’ai moins aimé ceux concernant l’homme. Bien sûr, on ne peut pas s’empêcher de faire le parallèle entre ces deux êtres. Mais pour moi, la poésie n’était que dans la nature donc seulement dans la moitié du récit… De plus, je m’attendais à cette fin, pas poussée à ce point mais je savais, comme si c’était la seule fin possible.

Peut-être que c’est parce que je n’aime pas la chasse que je n’ai pas été touchée ? En fait, je pensais avoir plus le cœur serré que ça. Le seul moment où j’ai ressenti cela, c’est l’épisode où le braconnier tire sur un bouquetin et qu’en fait, c’est une mère avec un petit et qu’après cela, il décide de ne plus chasser de bouquetin…

Ce court récit est suivi d’un autre texte d’une dizaine de pages Visite à un arbre. On retrouve le même style, la même poésie mais là encore il m’a manqué un petit quelque chose…

Un joli livre qui ne m’a pas touchée mais qui mérite d’être lu, il vous parlera peut-être plus qu’à moi.

LA

Folio

♥♥♥♥♥

Bilbo le hobbit de J.R.R. Tolkien

Couverture Bilbo le hobbit

Voici la 4ème de couverture :

Prélude au Seigneur des Anneaux, Bilbo le Hobbit vous emmènera dans une bien étrange aventure… Mais qui est Bilbo ? Un Hobbit tout ce qu’il y a de plus normal, qui aime boire, ripailler, discuter avec ses amis et, surtout, vivre une existence sans histoire !

Enfin, cela c’était avant les Nains, l’inquiétant Gollum, les araignées géantes de la forêt de Mirkwood, la Bataille des Cinq Armées, le dragon Smaug et son trésor…

Et quelques infos sur l’auteur :

John Ronal Reuel Tolkien est né en 1892 en Afrique du Sud. Orphelin à 12 ans, il fut élevé en Angleterre. Après des études à Oxford, il devint professeur de langue et de littérature anglaises. Médiéviste réputé, merveilleux conteur et créateur du Seigneur des Anneaux, il est mort en 1973.

Ce roman est en fait une relecture. Je l’ai lu une 1ère fois peu après la trilogie du Seigneur des Anneaux et je me suis rendue compte que j’en avais peu de souvenirs. Comme je voulais aller voir le film au ciné, je voulais me le remettre en tête pour voir les différences entre le livre et le film. Je m’y suis prise un peu tard et je ne l’ai pas fini avant d’aller dans les salles obscures donc je vais en profiter pour vous dire ce que j’ai pensé des 2.

J’ai beaucoup aimé le film ! J’ai été contente de retrouver Bilbo, Frodon (même si sa présence est anecdotique), Gandalf et les elfes (Elrond et Galadriel). Certaines choses m’ont étonnée comme certains nains qui n’ont pas « une tête de nain », un elfe qui vient de je ne sais où et qu’on ne retrouve pas après et la chance incroyable des nains (surtout dans les grottes des gobelins). Mais j’ai adoré les chants et la musique (d’ailleurs, dommage que le CD coûte aussi cher) et retrouver l’ambiance du Seigneur des Anneaux (même si j’ai trouvé ce film un ton en dessous). C’est un film vraiment sympa à voir sur grand écran !

Bizarrement, pour le livre, je suis plus mitigée… J’ai aimé le début, on a l’impression de s’installer dans un fauteuil au coin du feu et que quelqu’un nous raconte une histoire. Mais je lui ai trouvé quelques longueurs ! Il y a trop de chants qu’on n’arrive pas à s’imaginer, le comportement des nains est le plus souvent agaçant (vis-à-vis de Bilbo, ils ne sont pas très courageux et ne pensent qu’à l’or).

Si on compare le livre et le film, vous l’avez compris, j’ai préféré le film même s’il représente que le début du livre. J’ai même hésité à arrêter ma lecture aux 150 premières pages et reprendre avec le 2ème film (mais j’ai en fin de compte lu tout le roman). Bien sûr, il y a des rajouts mais ils ne m’ont pas dérangé au contraire. Les nains y semblent plus admirables (notamment Thorïn). Je le trouve moins jeunesse que le roman. Bref, je comprends pourquoi j’avais oublié le livre (à part le concours d’énigmes) et je sais que je me souviendrais du film (je me demande s’ils garderont la même fin…) !

♥♥♥♥♥

Antarctique de Martial Caroff

Antarctique

Même sans connaître l’auteur, j’aurai pris ce livre dans mes mains. J’adore l’Antarctique donc le titre et la couverture ne pouvaient que me plaire ! Voici la 4ème de couverture :

Dijon, décembre 2037. Le célèbre archéologue Jacques Kieffer reçoit la visite de deux confrères sud-américains, responsables d’un chantier de fouilles en Terre de Feu argentine. Afin d’attiser sa curiosité et d’obtenir sa collaboration, ils lui présentent les vestiges qu’ils viennent d’y mettre au jour. Des objets d’âge inconnu dont les décors témoignent d’un style artistique sans équivalent dans l’Histoire. Kieffer est stupéfait.

Au même moment, en Antarctique, dans la colonie israélienne des Vallées Sèches, Mirà Meir promène ses deux chiens. L’un d’eux découvre un étrange humérus. D’après le paléontologue Yitzhak Goldstein, bientôt dépêché sur place, il s’agirait d’un très ancien fossile de primate…

C’est ainsi que s’amorce une double investigation, l’une archéologique en Amérique du Sud, l’autre paléontologique sur le pourtour du continent austral. Les deux équipes vont accumuler des trouvailles plus fantastiques les unes que les autres, qui les amèneront à se rejoindre dans la Péninsule antarctique.

Ce qui les y attend les fera basculer dans un autre monde…

Pour l’auteur, vous connaissez la procédure ! 😉

Un extrait qui est en fait le début du prologue :

La suie d’une nuit interminable recouvrait la neige, métamorphosant les glaciers et les montagnes en terrils australs, crassiers du Grand Sud.

L’hiver, l’Antarctique est un continent nocturne écorché par le blizzard.

La tempête râpait la calotte occidentale avec sa violence coutumière. Les éléments se choquaient, se réduisant en une poussière de particules abrasives que le vent ivre cognait contre des rocs dénudés, puis projetait tantôt vers les Shetland, tantôt vers la Barrière de Larsen et la Mer de Weddell. Les rafales désorientées hurlaient en cherchant leur chemin dans le gris sombre du labyrinthe des vallées glaciaires, provoquant avalanches et chutes de blocs. Canalisé, le vent atteignait des vitesses affolantes.

Et soudain l’accalmie.

Le blizzard chuta brusquement. Ou plutôt, il prit de la hauteur. Il desserra son emprise sur la neige. Celle-ci, rendue hésitante, ne retomba pourtant pas. Elle continua de saturer l’air, en attente. Le silence ne fut plus troublé que par quelques rafales rageuses et des tourbillons à la trajectoire irrégulière, volutes de poudreuse aspirées par le ciel. La pause dura moins d’une demi-heure, puis la tourmente reprit son travail de sape, emplissant de nouveau l’atmosphère de fureur et de bruit.

J’ai adoré cette description, elle m’a mise dans une ambiance particulière dès le départ ! Et pourtant l’Antarctique n’est qu’un décor pour ce roman, je devrais même dire qu’un des décors.

Comme dans Exoplanète, nous suivons plusieurs « enquêtes » qui vont converger. D’un côté, nous retrouvons Jacques Kieffer qui après ses aventures au Soudan et la découverte d’une civilisation extra-terrestre, s’ennuie un peu en donnant ses cours à l’université (même s’il ne l’admet pas au début). Il n’hésite donc pas à se lancer dans cette nouvelle aventure même si elle se passe en Terre de Feu, contrée éloignée de ses habituels terrains de jeux. De l’autre, une colonie israélienne où le hasard fait qu’un des chiens de Mirà Meir trouve un os qui les amènera à découvrir d’étranges fossiles.

J’ai vraiment été prise par l’histoire. Comme les chapitres alternent les points de vue, on se laisse emporter et comme on veut toujours en savoir plus, connaître la suite, avoir la réponse à nos questions, les pages filent sans qu’on s’en rende compte !

On s’attache aux personnages (personnellement, je me suis plus attachée à l’équipe israélienne, la seule exception est ce fou d’Alsina qui fait aussi partie de mes chouchous !), comme à chaque fois, chacun a son rôle à jouer (bon ou mauvais).

Comment réagirions-nous si nos découvertes bousculaient tout ce qu’on connaît ? On se laisse tellement prendre par l’histoire que tout nous paraît crédible ! Les passages sur la paléontologie et les convergences morphologiques m’ont vraiment intéressée et m’ont presque fait regretter de ne pas avoir plus poussé mes études en paléontologie… ^_^

J’ai trouvé sympa la venue clin d’œil de Marc Chouviac : « après avoir trouvé une intelligence loin dans l’espace et une autre loin dans le temps, il ne reste plus à présent, pour boucler la boucle, qu’à découvrir une civilisation extrahumaine terrestre et… contemporaine. » Nous révèlerait-il le sujet du 3ème tome ? Je vous le dirai bientôt car j’ai hâte de me lancer dans cette lecture !

Je crois pouvoir dire que j’ai préféré ce 2ème tome et comme je vous recommandais déjà le 1er, vous ne pouvez que vous laissez tenter par celui-ci !!

Et cette fois encore, je finirai par une citation :

« Il fallait tuer, éradiquer le souvenir, car se souvenir, c’était retenir ! »

♥♥♥♥♥

Je vide ma bibliothèque 2013

livresu

Allez pour la 3ème année consécutive, je me relance dans ce challenge en espérant améliorer mon score ! ^_^

Je ré-essaye avec 25 livres, je suis donc toujours une « petite joueuse » et voici la liste :

Au royaume des femmes d’Irène Frain

La ferme africaine de Karen Blixen

Le Livre des choses perdues de John Connolly

Le Cachot de Hautefaille de Marie-Bernadette Dupuy

Cher amour de Bernard Giraudeau

Le bois de Merlin de Robert Holdstock

Je Te Retrouverai de John Irving

– Into the wild de Jon Krakauer

Ocean’s Songs de Olivier de Kersauson

Des vents contraires de Olivier Adam

Des choses fragiles : Nouvelles et merveilles de Neil Gaiman

Le Livre perdu des sortilèges, tome 1 de Deborah Harkness

Pieds nus de Elin Hilderbrand

Le Livre des mots, tome 1 : L’Enfant de la prophétie de J.V. Jones

Les sortilèges du Tremblay de Karine Lebert

Un jour de David Nicholls

Chien du heaume de Justine Niogret

Les Haut Conteurs, tome 1 : La Voix des Rois de Olivier Peru

Le moulin du loup, tome 1 de Marie-Bernadette Dupuy

Kushiel, tome 1 : La Marque de Jacqueline Carey

Rêve de Martial Caroff

Les Lavandières de Brocéliande de Edouard Brasey

Alpha & Omega, tome 1 : Le cri du loup de Patricia Briggs

Je vous écris du Vel d’Hiv : Les lettres retrouvées de Collectif

Légende de David Gemmell

Un petit Bilan

1220645

Eh oui, l’année 2012 est finie, il est temps de voir où j’en suis.

Tout d’abord quelques chiffres :

– Ma bibliothèque : 472

– Ma PAL : 128

– Ma wish-list : 45

– le nombre de livres lus : 538

Donc si on compare avec l’année dernière, aïe… Ma PAL a augmenté de 28 livres mais ma wish-list a baissé de 25 (que ce soit grâce à des cadeaux ou des achats) et j’aurai lu 62 livres. Mais là, il y a un souci vu que je n’ai fait que 44 chroniques… Donc je suppose que j’ai un peu complété ma page Livraddict ! ^_^

Niveau Challenge, je n’en ai fait que deux cette année :

– le premier : Je vide ma PAL… Je ne suis que moyennement contente de moi vu que j’ai lu 14 livres sur 25 mais en comparaison de l’année dernière, j’ai beaucoup mieux fait ! Du coup, je retente cette année !

– le second : Challenge Faërie. J’en suis à 3/15 mais j’ai jusqu’à fin 2013

J’ai eu de la chance, j’ai participé à 16 partenariats, je remercie encore les maisons d’édition, Livraddict et Babelio.

J’ai aussi fait 10 Lectures Communes dont certaines m’ont permis de sortir des livres de ma PAL (je crois qu’ils y seraient encore sans elle et ce pour plusieurs années !).

Quel changement cette année ?? J’espère moins d’achats ! Ca fait même partie de mes résolutions de la nouvelle année. Plus de lecture de saga aussi donc possible qu’il y ait moins d’article sur ce blog… En effet, pour les trilogies soit je fais un article pour chaque (comme pour Intelligences de Martial Caroff), soit un article global (comme pour Le Chant des Sorcières de Mireille Calmel, à moins que je change d’avis à la lecture du 2ème tome) et pour les longues sagas souvent je chronique le 1er tome puis je fais un article global pour la suite…

A bientôt !