Couverture Les Cités des Anciens, tome 1 : Dragons et serpents

Pour ceux qui me connaissent un peu ou qui suivent ce blog, vous savez que je suis fan de Robin Hobb et de l’univers qu’elle a créé ! Donc quand j’ai su que Les Cités des Anciens arrivaient, j’étais super contente, j’ai acheté le 1er tome en grand format car j’espère le faire dédicacer par l’auteur. Occasion ratée à Trolls et Légendes à Mons, mais réussie à Saint-Malo aux Etonnants voyageurs ! Donc je tiens beaucoup à ce livre mais je ne sais pas pourquoi, je n’arrivais pas à le sortir de ma PAL. Peur d’en attendre trop, peur de le lire trop vite… Enfin bref, je parle, je parle mais je devrais peut-être vous mettre la 4ème de couverture :

Dans le Désert des Pluies, les serpents géants se sont enfermés dans leurs cocons, sous la supervision de la dragonne Tintaglia, pour en émerger, transformés à leur tour en dragons, et assurer la pérennité de leur race. Mais, trop vieux, trop affaibli, ils ne donnent que des créatures difformes, inachevés, incapables de survivre seules sans l’aide des humains, qu’ils mettent tant à contribution pour les nourrir que les Marchands du Désert des Pluies décident de s’en débarasser…

Autour d’eux gravitent Thymara, jeune fille aux mains et aux pieds griffus et palmés, que ses parents n’auraient jamais dû laisser vivre ; Alise, prise entre un époux, riche Marchand  qui la délaisse et la méprise, et sa passion des dragons ; et Leftrin, capitaine de vivenef à l’honnêteté élastique qui tombe sur une bille de bois-sorcier et choisit de la vendre au plus offrant malgré l’interdiction formelle qui pèse sur ce genre de commerce.

En plongeant à nouveau dans un univers qu’elle connaît bien, Robin Hobb enrichit la galerie de ses personnages si attachants par d’inoubliables héros, en butte à des situations qui révèlent leurs forces autant que leurs faiblesses. A travers des aventures où se côtoient êtres humains et créatures fantastiques, tels que les dragons, nul écrivain ne maîtrise comme elle, aujourd’hui, une palette aussi large et dense d’émotions.

Je vais vous épargner la partie biographie et l’extrait car pour l’auteur, il vous suffit de farfouiller sur mon blog et pour le style idem. Le style de Robin Hobb est reconnaissable, surtout quand elle décrit son univers (L’Assassin Royal, Les Aventuriers de la Mer, Les Cités des Anciens).

Je ne vais pas vous cacher que j’ai été un peu perdue dans les premières pages… Aurai-je dû lire la fin des Aventuriers de la Mer avant de commencer ? Je ne le saurai que quand je la lirai ! ^_^ Mais cette impression s’est rapidement estompée et je me suis retrouvée plongée dans l’histoire, complètement sous le charme de la plume de Robin Hobb.

J’ai apprécié les personnages : Thymara et son père, Alise, je suis intriguée par d’autres (Leftrin notamment), j’ai aimé retrouver des personnages qu’on connaissait d’avant (Althéa, Brashen, Selden) même si je pensais qu’on en parlerait plus.

On imagine très bien ces villes dans les arbres, ces dragons difformes, la manière de décrire de l’auteur est toujours aussi forte !

J’ai dévoré ce tome ! Seul bémol, c’est un tome d’introduction et il a un goût de trop peu ! En lisant la 4ème de couverture, je m’attendais à ce que l’histoire avance plus dans ce livre et pourtant connaissant l’auteur, j’aurai du me rappeler qu’elle aime bien poser les bases avant de vraiment démarrer l’action. Ah non, un 2ème bémol dont je ne parlerais pas trop pour ne pas vous dévoiler l’histoire mais… Alise est aveugle ou quoi ?? On sait qu’elle n’est pas idiote mais il y a vraiment certaines choses que je ne comprends pas comment elle fait pour passer à côté…

J’ai la suite dans ma PAL mais je l’y laisse pour le moment : d’autres lectures plus « urgentes » et surtout je préfère avoir la fin avant de reprendre (peur de tout dévorer et d’être frustrée s’il me manque le dernier tome ! hihi).

♥♥♥♥

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